La taverne du chat mourant

La taverne ouvre ses portes maintenant...





Cela faisait maintenant plus d'un ans et demi que Jyho attendais de voir les portes de son établissement accessible, et ce soir c'est chose faite !
S'avançant d'une démarche trop enthousiaste, il introduit d'une main tremblante d'excitation la clé dans la serrure de la taverne fraichement terminée.

Sans aucun bruit, celle-ci s'ouvrit sans problème. Le tavernier se dépêcha d'allumer la vingtaine de bougies afin d éclairer la pièces. Quand ceci fut fait, il prit une profonde inspiration et observa le fruit de ses longue économies.

Cela en valais la peine.

Dans la salle maintenant bien éclairée, une dizaine de longue tables pouvant accueillir chacune une dizaine de titan était positionner l'une après l'autre dans une synchronisation surpassant la perfection mais laissant tout de même un large espace entre chacune afin de ne pas empêcher le voyage entre elles.

Dans le coin gauche de la taverne crépitait agréablement un feu doux qui a lui seul réchauffais l'auberge en entière. Sur les murs, des têtes empaillée d'orcs, de gremlins et de reine renard gris du désert de Dratan décorais soigneusement le lieux.

Jyho tourna finalement la tête vers le lieux ou il passerais désormais ces journée et soirées, le bar ! Long d'environs cinq mètre, il accueillais quinze tabouret rembourrer de plume de harpies, n'attendant que les clients ne s'assoie dessus afin de commander les différentes boisson proposée à l'arrière du bar. Car devant l'énorme miroirs du bar, se trouvais une incroyable collection de vin, liqueur et alcool en tout genre.

Inspirant une dernière fois, ce réjouissant même, jyho passa derrière son bar, prit une lavette propre et entreprit machinalement de nettoyez son bar déjà propre...


--- J'espère que les clients ce feront nombreux !

Quelque seconde passèrent avant qu'il n'ajoute:

--- J'espère qu'il ne tarderons pas trop non plus...

Soudain, je voit un nouveau bar qui vient d'ouvrir.., on ne me veut plus nul part ,je décide de pousser la porte de celui-ci!!!

Bien évidement ,comme d'habitude, j'ai déja prit quelques verres, et j'ai encore SOIF.....J'ai décidé que le barman n'avait pas le choix de me servir, même si j'étais déja éméché!!

Je m'assied au bar, et je commande l'alcool le plus fort de sa vitrine ........

Soudain, il y eut un courant d'air, un mouvement imperceptible qui troubla le silence de la taverne, et comme tombé de nulle part, Macro apparu à coté de la porte. Il portais un habit souple qui épousait ses mouvements sans le géner et une série de poignards accrochés a une ceinture en cuir. Saluant le barman d'un signe de tête, il alla s'asseoir contre le mur du fond. Il posa son arc et ses flèches sur le banc, à portée de main, croisa les bras et afficha un sourire énigmatique et provoquant, parcourant la salle de son regart franc comme s'il la sondait.
- J'aimerais une couche pour la nuit, dit-il simplement en croisant celui d'Ureh.

Après une minute passée dans un silence complet, il se leva, et alla se servir une bière, puis retourna s'asseoir. Tout à coup, la porte s'ouvrit dans un grand fracas, et un homme d'une stature impressionnate entra. Il était habillé tout de noir, et portait une longue et lourde hache dans son dos. Il avais les cheveux coupés au ras et d'un noir de jai. L'homme sentait mauvais, et était aussi sale qu'il ne semblait n'avoir jamais pris de douche.

Celui-ci prit sa hache et, menaçant le barman, lui demanda la caisse. Il ........ se retrouva épinglé au mur. Il n'avait pas vu l'homme qui était adossé au mur, et les reflets de sa cape grise-verte rendaient sa silhouette floue. Macro regarda le géant et lui ordonna de partir. Celui-ci avait enlevé avec peine la flèche de son habit, et regardait Macro d'un air mauvais il cracha par terre et lança :
- Viens te battre au lieu de te cacher, mauviette.

Ce qui arriva se passa tellement vite que l'inconnu ne se rendit compte de rien. Macro posa son arc, sauta par dessus la table avec une rapidité inouïe. L'homme lui porta un coup qu'il évita sans peine. Il assena dans le même mouvement 2 coups au plexus, suivis d'un atémi foudroyant. Plusieurs craquements retentirent, précédants le hurlement du géant. Aveuglé par la douleur et la colère, il sa jeta sur Macro, qui, au lieu de le parer, l'accompagna avec les mains et l'envoya sans efforts par terre.

Certains os et son honneur en miette, l'homme se sauva en oubliant sa hache, et Macro retourna calmement à sa table, sirotant sa bière, un sourire aux lèvres.

DEMONTHOR trouva l'endroit chaleureux et animé... et de surcroix le premier verre était offert !

Je décidait donc de reprendre un verre et proposa au patron ainsi qu'a la jolie serveuse de trinquer avec moi.....

Macro accepta le verre et vînt s'asseoir avec tout le monde devant la cheminée. Puis, il remercia chaleureusement Jyho et se dirigea vers sa chambre. Se ravisant, il décida de retourner avec les autres pour terminer cette belle soirée si bien entamée.

Au loin, de la lumière.. je suis sauvée!!

Je pousse la porte dans l'énergie du désespoir, en espérant pouvoir m'y abriter. Mon regard est éffrayé par ce que je vient de vivre, mon souffle est court, mon coeur va s'arracher de ma poitrine....

-Au secours, aider -moi!! Des Orks d'elites veulent me sacrifier au nom de leur Dieu: DIABLORAS!!!

Je me dirige péniblement vers le centre de la taverne....en espérant de l'aide......

Alors que je pensais , ma journée aussi nulle que les autres jours!... la porte s'ouvrit et l'a apparut un ange.
D'un seul regard un seul, je compris que j'étais amoureux! Et malgré l'alcool que j'avais consommé, mes idées revenairent aussi claires que de l'eau de roche...

D'un bond, je me levais de mon tabouret afin de me diriger a l'extérieur pour m'assurer que les Orks d'élites ne la poursuivait plus....

Restant dans le fond de la salle, Macro observait. Il analysait la situation, ainsi que la jeune personne qui venait d'entrer. Prenant sa décision, il prit son arc et ses flèches, et emboîta le pas a Demonthor, décidé a ne pas finir sa soirée aussi calmement.

Mon regard appeuré suivit ces 2 hommes se dirigé vers l'extérieur afin de me protégé !! Enfin des âmes secourables!!

Dans un dernier effort, je m'appuie au comptoir.... m'assied sur un tabouret..... et commenda une liqueur afin de me remettre de mes émotions...

Un peu déboussolée, il me fallut un certain pour répondre a cette gentille serveuse...

Je m'appelle Niskae, et je me promenait tranquillement dans la ville de Dratan, a quelques lieux d'ici....
et la qu'elle ne fut pas ma surprise!! ...Un attroupement d'ork m'as attaquée!

je ne sais pas par quel miracle j'ai pu leur échapper....

Je crois qu'isl voulaient me sacrifier au nom d'un Dieu ,je crois qu'il s'appelle Diabloras... un monstre sanguinaire... j'en tremble encore

Et sur ces paroles ,je but une gorgée de cette liqueur d'une couleurun peu douteuse.

Mon attention fut attirée par un bruit a l'extérieur!....

La soirée suivait son cours et, doucement, laissait place à une nuit fraîche et -de par l'absence totale de nuages- magnifiquement étoilée. La lune, pas encore tout à fait pleine mais à la limite de l'être apportait à quiconque voyageait de nuit une lumière des plus suffisantes pour suivre son chemin. Dans ce paysage vallonné brillait, sous les frondaisons d’arbres clairsemés, une rivière de reflet d’argent qui semblait prendre source dans la montagne qui surplombait les vallées. Tout était calme alors, et seuls quelques animaux sauvages rompaient en quelqu’occasion le doux silence de ces lieux, ou presque…
Un bruit répété d’éclaboussure se fit entendre, ainsi que des bruits de frottements et de mouvements dans l’eau. Grâce au reflet de la lune, on put alors clairement distinguer le jeune homme qui, entièrement nu, tentait du mieux qu’il le pouvait d’enlever les nombreuses tâches de sang qui le recouvraient, tout en évitant de trop frotter sur diverses blessures qui marquaient son corps, svelte mais aux muscles bien dessinés. Sortant, après plusieurs jours de traversée, d’un long tunnel qui débouchait non loin du cours d’eau, il aperçut au loin quelques lumières qui semblaient indiqué un village, voir une ville. Cela faisait déjà quelques jours qu’il été arrivé au bout de ses maigres vivres et, préférant s’abstenir de gouter à la nourriture orc qu’il avait trouvé, il était à présent affamé, mai il préférait éviter d’entrer en ville avec l’apparence d’un mendiant crasseux.
Ayant fini sa toilette, le jeune homme sortit de l’eau et approcha de ses affaires, un sac en cuir noir qu’il avait laissé un peu plus loin et une longue épée à deux mains au manche noir et à la garde et le pommeau d’argent ouvragés, rangée dans un fourreau aux mêmes couleurs, et passa alors à l’ombre des arbres. Bien qu’on ne distinguait alors que sa silhouette, ses cheveux mi-longs, reflétant la faible lueur de la lune que traversait les branches et les feuilles, semblaient d’argent. Après s’être essuyé, on devina plus qu’on ne vit, qu’il s’appliquait des bandages propres en quelque endroit.

*Ca se referme plutôt bien… Heureusement que leurs armes n’étaient pas empoisonnées.*

Il regarda alors un petit tas, tout proche de son sac, qui était formé de vêtements dont on ne pouvait plus distinguer l’apparence et à peine la couleur, tant ils étaient déchirés et maculés de sang ainsi que d’une paire de bottes de voyages en cuir simple, tout aussi maculée.

*Je crois qu’il est inutile d’essayer de récupérer les habits, mais les bottes ça devrait aller… Enfin j’espère, j’en ai pas de rechange…*

Par habitude d’effacer ses traces, le jeune homme plaça ses vieux vêtements et ses vieux bandages –petit tas compact une fois pliés- dans l’une des poches vides de son sac. Il ouvrit alors une autre, la plus grande, et en sortit des vêtements propres qui semblaient de la même couleur que ses cheveux. Il retourna alors près du ruisseau pour tenter, en vain, de nettoyer autant que possible ses bottes, qu’il dut finalement rechausser dans l’état crasseux dans lequel elles se trouvaient. Il attacha une sangle, sort de ceinture transversale qui l’entourait de son épaule gauche au côté droit du bas de sa taille, à laquelle était fixé le fourreau de son épée, il prit son sac, sortit du couvert des arbres et arriva sur un petit sentier, lequel descendait de l’entrée des tunnels et descendait juste qu’aux lumières dans les plaines sous les collines… Une dizaine de minutes en se dépêchant un peu pour les atteindre estima-t-il. Il se tourna alors vers le flanc de la montagne sous laquelle il avait longuement voyagé et soupiré.

*Et bien voilà, je plonge maintenant dans l’inconnu, seul dans un pays dont je ne connais que quelques rumeurs… Enfin, peut-être n’ais-je pas pu me fournir de nourriture dans les réserves des orcs, n’empêche que ma bourse est pleine à craqué maintenant, je devrais m’en sortir.*

Il se retourna alors et, bien décidé à trouver le gite et le couvert avant que la nuit se soit trop avancée, il s’élança d’un pied ferme sur le sentier.
Après quelques minutes de descentes, alors qu’il approchait de la première lumière –et donc sans doute le premier bâtiment- il entendit des bruits de pas et des grognements familiers... Il porta la main droite au manche de son épée, lequel se trouvait au dessus de son épaule droite, puis hésita.

*… Si je tache ces vêtements ci, je ne saurais plus me changer, ce sont mes derniers…*

Il hésita ainsi quelques secondes, puis il relâcha sa prise et repassa sous le couvert des arbres pour franchir le peu de distance qui l’éloignait encore du premier bâtiment. Il passa discrètement sur la gauche des orcs et remarqua que ceux-ci, alors qu’ils semblaient d’abord poursuivre quelque chose ou quelqu’un, s’étaient arrêtés face à deux hommes qui semblaient sortir du bâtiment, lequel avait tout l’air d’être une taverne.

*Hé bien voilà qui est parfait ! Ces hommes vont se charger des orcs, et moi je vais enfin pouvoir me restaurer en restant dans des habits propres ! Ce voyage en terre étrangère débute pas si mal mon p’tit Kailan.*

Et c’est ainsi que Kailan, car tel était son nom, franchit calmement la porte restée entrouverte de la taverne, non sans avoir lu au préalable le nom « La Taverne du Chat Mourrant » *O.o* sur l’enseigne… A la lumière des nombreuses bougies –Kailan approuva en se disant que ça sentait bien meilleur que les lampes à l’huile et que les risques d’incendies étaient plus faibles- on put voir que c’est cheveux étaient en fait blonds très clair, presque blancs, et que sa peau était aussi pâle. Le menton droit et fier, le nez plutôt fin,… Kailan avait un visage bien dessiné. On ne put cependant voir ses oreilles, celles-ci étant cachées derrière ses cheveux. Mais le plus étrange était ses yeux car, chose peu ordinaire, ils étaient d’un mauve profond. Ses vêtements, à la mode des nobles de son pays, était d’une coupe élégante, mais droite et courte. Le blanc prédominait ses habits, mais les bords des manches, la ligne des boutons d’attaches et le col haut de sa chemise, ainsi que les bords des jambes et sa ceinture de cuir, étaient noirs et argents.
Avant de refermé la porte derrière lui, il prit le temps de regarder les quelques personnes qui se trouvaient au bar et, satisfait qu’il n’y eut que quelques personnes –la foule l’insupporte lorsqu’il est fatigué- il s’avança vers le bar, à un tabouret entre la jeune femme qui y était déjà et lui, puis hésita un instant face au barman.

*C’est la première fois que je me retrouve dans une taverne du peuple, et chez des étrangers en plus ! Je crois que nos langages sont proches mais c’est pas sûr… Enfin…*

-- Hum… Athrast vala cher tenancier ! Un lointain meladan, hum… voyageur tel que moi peut-il espérer trouver restauration dans votre charmant établissement ?


~~~~~~~~~~~~~~

Désolé je crois que je me suis un peu emballé xD
Mais je vous rassure j'en ferais plus de si long, c'est juste que ça fait longtemps que j'ai plus fait de RP alors je me suis emporté ^_^"
Et sinon pour mon perso, voir l'avatar en gros X3

Voyant les orks s'enfuire, Macro, rentra dans la taverne, suivant l'homme qui venait d'entrer. Celui-ci avait l'air exténué. L'homme s'exprimait bizarement, et on voyait, à ses habits, qu'il n'était pas d'ici. Macro alla s'asseoir près de lui et lui propsa une bière.

- Salut l'ami, tu n'a pas l'air d'être d'ici, d'où viens tu ?